Yves Réveillon-Forestier - Candidature Présidentielle 2012

Il y en a marre qu'en France, au nom d'un politiquement correct il faut toujours fermer sa bouche et payer pour les autres qui ne savent que profiter de notre système social.

Tout d'abord, dans ce pays des droits de l'Homme qui prône l'égalité, pourquoi les salariés du privé doivent-il se serrer la ceinture avec 3 jours de carence en cas de maladie alors que les fonctionnaires en ont ... aucun ?
Ah la fonction publique, sacro-sainte église de la fonction publique dont on ne peut parler sous peine de se faire traiter de tous les noms ou d'avoir des grèves à n'en plus finir ...
Le gouvernement souhaite augmenter la carence du privé ? Pourquoi ne pas mettre à 3 jours les fonctionnaires ? Ne serait-ce pas plus juste et républicain ?

C'est même étonnant que tous ces schtroumpfs comme M. Hollande ne disent rien quand il s'agit de toucher au privé plutôt qu'à la fonction publique …

Du coup le gouvernement fait marche arrière, et pour mieux faire passer la pilule, décide que finalement l'allocation maladie sera diminuée pour les salaires de plus de 2500 euros mensuels.
Donc encore une fois, parce que la France compte des milliers de parasites qui touchent, retouchent, et surtouchent toutes les allocations possibles et inimaginables de notre système social, comme toujours, ce sont ceux qui en profitent le moins qui doivent encore payer, payer et payer pour les autres.

C'est tout comme ces gens débiles qui s’offusquent quand une Mairie décide de se faire payer les repas de la cantine, qui au nom d'un socialement injuste, critique une mesure visant à faire payer à ceux qui ne le font pas ce qu'ils doivent. Les françaises et les français ne savent faire qu'une chose c'est de râler, ils veulent tout, mais en faisant le moins, et encore une fois, celles et ceux qui ne disent rien, ce sont celles et ceux qui payent, sans retard, sans question, bref, qui font naturellement leur devoir citoyen.

Pauvre France, tu fais pitié, ce sont désormais des abrutis, des sans idées, des femmes et des hommes qui ne sont que des voyous qui font désormais la loi et qui décident de tout. Nous, pauvre petits françaises et français qui comme toujours payons pour les autres, nous n'avons plus que nos yeux pour pleurer.

Si je suis Président, je mettrai un terme à ce cirque politique et social qui ne fait que creuser un fossé entre le Peuple. Je mettrai un terme à tous ces abus sociaux et à cette ponction financière injuste à celles et ceux qui se lèvent tôt pour gagner leur vie et faire vivre leur famille.